Etes-Vous Intéressé(e) Par Vous Reconvertir Dans Un Secteur Qui Embauche Encore ?

Une question rapide : Pensez-vous-en ce moment à réussir un changement de métier ? Que vous soyez en recherche d'emploi ou pas. Quel que soit le niveau de votre formation.
Dans un domaine où il y a encore DE L’EMBAUCHE pour des candidats motivés et bien préparés ? Un domaine qui offre le plus souvent des perspectives de carrière et de salaire intéressantes.

De quoi s’agit-il ?

Je veux parler des CONCOURS DE L’ADMINISTRATION.

Peu de gens y pensaient jusqu’à présent.

Mais désormais de nouveaux éléments changent la donne : la pandémie sanitaire mondiale a tout d'abord, incité beaucoup à voir d’un autre œil leur emploi. Le télétravail a enfoncé le clou.

Par ailleurs, le sabotage récent sur les pipelines NordStream1 et NordStream2 va avoir un effet délétère, sinon dévastateur, entre autres, sur l’économie allemande, notre principal partenaire commercial. Effet à court terme et peut-être à moyen terme. Vu l’importance de la dégradation des gazoducs et du temps qui sera nécessaire pour réparer (ou pas).

Sans parler des équipements aujourd’hui manquants en Europe mais nécessaires pour « traiter » l’arrivée, le stockage, la décompression et la distribution de livraisons énergétiques de gaz, en grandes quantités, venant de nouveaux fournisseurs.
Ces équipements font bien sûr l'objet d'investissements colossaux de la part des européens, mais ne seront pas complètement opérationnels avant un ou deux ans.

Par ailleurs, la séquence du « quoi qu’il en coûte » semble susceptible de prendre fin assez rapidement. Cette séquence ne peut continuer qu’avec l’ « indulgence » des instances européennes. Mais tant Bruxelles que Francfort risquent bien de siffler bientôt la fin de la partie, pour un pays endetté à environ 120% de son PIB. Sans parler de son hors bilan (unfunded liabilities).

Face à ces perspectives moroses, quel comportement adopter ?

Eh bien, certains salariés vont chercher dès maintenant des alternatives, voire des solutions de rechange.
D’ailleurs, une tendance très sensible depuis peu, est l’intérêt pour les concours administratifs de personnes du secteur privé.
Ainsi, maintenant, environ la moitié de mes nouveaux élèves sont dans ce cas de figure. Ils se préparent avec moi et réussissent très bien.

Et cette tendance encore confidentielle risque de durer.

De plus, quel que soit leur niveau de formation, les salariés ont de plus en plus un regard critique sur leur emploi. Certains y voient même un « bullshit job ».

Or, le service public avec son statut protecteur, sa rémunération correcte, est susceptible de permettre une réorientation professionnelle réussie pour les plus avisé(e)s.

Car il y a peu de « bullshit jobs » dans la fonction publique. Même s’il y en a.

Bien sûr, il faut le reconnaitre , certains ne s’y trouvent pas satisfaits. Mais c’est souvent en raison d’un décalage entre leur niveau de formation initiale et le classement du poste, dans sa catégorie A, B ou C.
Ainsi, avoir un Master 2 en Droit Européen et faire l’accueil physique d’un public mécontent, en catégorie C , dans une Trésorerie d’un département difficile, n’est certes pas très épanouissant.
Mais la promotion interne est toujours là pour permettre de progresser vers de meilleures fonctions, pour les plus ambitieux.

Par ailleurs, même si on a parlé depuis longtemps et de façon récurrente de restrictions budgétaires et de suppressions de postes dans la fonction publique, la réalité doit être nuancée.
En effet, les objectifs de « dégraissage » des différentes majorités présidentielles n’ont pas vraiment été réalisés depuis 20 ans et plus.
D'ailleurs, le projet de loi des finances du gouvernement prévoit une création nette de 10764 postes nouveaux dans l'administration d'état, pour l'année 2023 . On est donc loin d'un ''dégraissage'.
De même, la récente loi permettant d’embaucher plus de contractuels au statut encore incertain, devrait faire augmenter mécaniquement l'intérêt des candidats pour le statut, plus protecteur, offert par les concours.
Surtout quand on connait la gestion médiocre, sinon calamiteuse, des compétences des contractuels diplômés au sein des trois Fonctions Publiques depuis très longtemps.

D'où l'intérêt de BIEN SE PREPARER si on envisage un concours.

A mon avis, à moins d’un changement de paradigme dans la gestion RH de ses contractuels, l’Administration d’Etat devra continuer à embaucher par concours pendant ces prochaines années, au moins dans le domaine dit « régalien » ; par exemple : Justice, Police, Pénitentiaire. Eventuellement Finances et Affaires Étrangères.

De même, l’Administration Territoriale devra faire face dans les prochaines années au départ en retraite de bon nombre de ses agents embauchés à l’époque des grandes lois de décentralisation. Celles du début des années 1980.
Une partie importante de ces agents devra donc être remplacée.

Dans l’ensemble, même si certaines de ces embauches se feront par la voie contractuelle, il restera une fraction importante de recrutements par concours, là où cela est nécessaire.

Les opportunités de recrutement par concours peuvent bien sûr décliner. Avec pour conséquence plus de concurrence entre les candidats. Qui souhaiteront bénéficier des avantages protecteurs des fonctionnaires.

SEULS LES CANDIDATS BIEN PREPARES auront le plus de chances de réussir. La préparation à partir de livres, de manuels ou d'organismes de formation dédiés (où 50 à 100 candidats y reçoivent la même formation en même temps) ayant ses limites.

D’où l’intérêt de faire appel à un accompagnateur personnel qui les fera SORTIR DU LOT lors des épreuves du concours, à l’écrit comme à l’oral.
D'ailleurs le coût d'un tel formateur sera vite compensé par le simple différentiel de salaire après/ salaire avant, dès les premiers mois du nouveau salaire.
Elément à bien garder présent à l'esprit.

Une des épreuves écrites aux concours y semble difficile à beaucoup de candidats : La NOTE (DE SYNTHESE OU DE PROPOSITIONS). Aussi le CAS PRATIQUE. Ce genre d’épreuve, avec son gros coefficient, est même devenue un INCONTOURNABLE de ces concours.

Pourtant, rédiger une note très convenable est à la portée de beaucoup de candidats. Grâce à de la METHODOLOGIE et un APPRENTISSAGE.

Par ailleurs, les EPREUVES ORALES de sélection, par exemple l'épreuve d'entretien avec le jury, y déroutent souvent les candidats car elles ont leurs caractères propres.

Pour ce qui me concerne, je prépare avec efficacité des élèves à passer des concours administratifs. Même à partir d’un niveau de départ modeste. Avec des méthodes et des outils qui leur permettent de progresser rapidement et bien. Et des RESULTATS PROBANTS.

En sachant bien par exemple, que les concours par la 3ème voie sont accessibles à de nombreux candidats, souvent sans limite d’âge et/ou avec peu de diplômes. Les salariés du secteur privé s’y intéressent d’ailleurs de plus en plus. C’est ce que je vois dans mon activité de formateur. Une tendance, aujourd'hui encore confidentielle, mais qui semble partie pour se développer. D’où votre intérêt de monter dans le train avant qu’il n'ait démarré.

Vous voulez vous aussi préparer avec sérieux un concours administratif ?

Alors je vous invite à surfer sur mon profil et visiter mon cours :
Préparez Votre Concours/Fonction Publique & Grandes Ecoles/Par Webcam. Ainsi que mes autres cours.

Cela sera bien sûr une formation au plus près de vos besoins, un entrainement calibré pour vous. Un entrainement sur mesure et à la carte.
Vous êtes intéressé(e) ?
Alors rejoignez-moi sans attendre !
Bien à vous.
Pierre

A bien noter : Ne perdez pas un temps précieux à mal vous préparer pour rien. Investissez sur vous-même, sinon, qui le fera ?


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En cherchant sur Google avec des mots-clés (statistiques nombre de candidats par offre d’emploi), en 2019, dernière année récente significative, on était à 31 candidats par offre cadre (source APEC) ; pour des emplois non-cadres on avait 95 candidats pour 4 recrutés, soit 24 candidats par poste proposé.
Il s’agit là des derniers chiffres connus et significatifs.
Nul doute que ces statistiques se dégraderont dans les semaines, les mois qui vont suivre avec la crise économique.
Alors qu’en revanche, les chiffres des recrutements par concours administratif sont encore très loin des statistiques ci-dessus et restent stables.
Je prendrai un seul exemple : celui du concours externe d’inspecteur des finances publiques de 2019 ; personnel d’encadrement assez bien payé.
Selon le rapport du jury, on avait :
Nombre d’inscrits : 7219 (en diminution de 4% p/r à 2018)
Présents aux écrits du concours : 3291 (soit 45.6% des inscrits)
Admissibles : 1136 dont 1082 présents à l’oral (soit le tiers des présents à l’écrit)
Nombre de postes : 512 (soit un peu moins d’un admissible présent sur 2)
Résultats : 6,4 candidats présents par poste proposé. Ce qu’on appelle le taux de sélectivité.
Soit près de 4 fois moins de candidats que dans le secteur privé !!

Cela n’est bien sûr qu’un exemple. Des statistiques du même genre pourraient être faites pour d’autres concours.

D’ailleurs vous pourrez avoir plus d’information en allant sur Google avec les mots clés « statistiques de réussite aux concours administratifs » et lire le dernier document du Ministère de l‘Action et des Comptes Publics, intitulé Fonction Publique chiffres-clés 2017. (Derniers chiffres connus).
Le chiffre moyen du taux de sélectivité est 8,1.
Ce qui signifie tout de même environ 90% d’échec !! ; d’où l’intérêt de réaliser qu’il n’y a PAS DE REUSSITE SANS ENTRAINEMENT SERIEUX dédié à ce genre d’épreuve.

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